ABONDANCE
ADAPTATION
agriculture syntropique
ou agroforesterie successionnelle
AGROECOLOGIE
AGRONOMIE
AMOUR
Pour une agriculture de l’Amour, Hervé Covès.
ANASTOMOSE
anthropisme
arbre
AZOTE
BASSIN VERSANT
biodiversité
BIOLOGIE
biomasse
biotope primaire et secondaire
biocènose
CARBONE
clairière
CLIMATOLOGIE
Climax
ECOLOGIE
ECOTONE
Un écotone est une zone de transition écologique entre deux écosystèmes. Par exemple, le passage de la savane à la forêt, ou le passage d’une plaine alluviale à une zone non inondable. En écologie du paysage, il correspond à une lisière. Comme dans le cas des biomes, la végétation joue un rôle important dans la caractérisation d’un écotone, du fait de la marque physionomique prépondérante qu’elle imprime au paysage.
Cette zone est généralement très riche en biodiversité car elle abrite des espèces propres à ce milieu de transition mais aussi des espèces appartenant à chacun des écosystèmes le bordant1.
écosystème
égo
ETAGEMENT
FERTILITE
fixateur d’azote
forêt
forêt-comestible
forêt de régénération
haie fruitière multi-étagée
harmonie
Homéostasie
HYPHE
impermanence
incidence
X INDIGENE
Indigène qualifie une espèce ou un ensemble d’espèces présentes naturellement en un lieu, sans y avoir été amenées par l’homme mais connues aussi naturellement en d’autres lieux.
interactions
interdépendance
lisière
LITIERE
MATIERE ORGANIQUE
micro-climat
micro-organisme
milieux
MYCORHIZE
X NATURE
permaculture
philosophie
PHOSPHORE
pollinisation
pré-verger
RECYCLAGE
resilience
ressource
SAISONNALITE
SENSIBILITE
SPIRITUALITE
SOL - PEDOLOGIE
SUCCESSION ECOLOGIQUE
SYMBIOSE
SYNTROPHIE
SYNUSIE
TIERS - PAYSAGE
Le Tiers-Paysage –fragment indécidé du Jardin Planétaire- désigne la somme des espaces où l’homme abandonne l’évolution du paysage à la seule nature. Il concerne les délaissés urbains ou ruraux, les espaces de transition, les friches, marais, landes, tourbières, mais aussi les bords de route, rives, talus de voies ferrées, etc … A l’ensemble des délaissés viennent s’ajouter les territoires en réserve. Réserves de fait : lieux inaccessibles , sommets de montagne, lieux incultes, déserts ; réserves institutionnelles : parcs nationaux, parcs régionaux, « réserves naturelles ».
Comparé à l’ensemble des territoires soumis à la maîtrise et à l’exploitation de l’homme, le Tiers-Paysage constitue l’espace privilégié d’accueil de la diversité biologique. Les villes, les exploitations agricoles et forestières, les sites voués à l’industrie, au tourisme, à l’activité humaine, l’espace de maîtrise et de décision sélectionne la diversité et parfois l’exclut totalement. Le nombre d’espèces recensées dans un champ, une culture ou une forêt gérée est faible en comparaison du nombre recensé dans un délaissé qui leur est attenant.
Considéré sous cet angle le Tiers-paysage apparaît comme le réservoir génétique de la planète, l’espace du futur …
La prise en considération du Tiers-Paysage en tant que nécessité biologique conditionnant l’avenir des êtres vivants modifie la lecture du territoire et valorise des lieux habituellement considérés comme négligeables. Il revient au politique d’organiser la partition des sols de façon à ménager dans son aire d’influence de espaces d’indécision, ce qui revient à ménager le futur.
Le Tiers-Paysage intéresse le professionnel de l’aménagement, le concepteur, en ce qu’il l’amène à inclure au projet une part d’espace non aménagé ou encore à désigner comme espace d’utilité publique les délaissés que génère, quoi qu’on fasse, tout aménagement.
Le terme de Tiers-Paysage ne se réfère pas au Tiers-Monde mais au Tiers-Etat. Il renvoie au mot de l’Abbé Siéyès : « Qu’est-ce que le Tiers-Etat ? – Tout – Quel rôle a-t’il joué jusqu’à présent ? – Aucun – Qu’aspire-t-il à devenir ? – Quelque chose. »
Le seul projet d’ampleur proposant une scénographie du Tiers-Paysage est le Parc Matisse à Lille où l’île Derborence, objet central exhaussé à 7 mètres du plan commun, reçoit sur 3 500 m2 une « forêt idéale » installée par la seule nature. Inaccessible mais observée, elle sert de matrice et d’indicateur pour une gestion dans la plus grande économie possible des huit hectares de parc public.
Le Jardin du Tiers-Paysage à Saint-Nazaire sur le toit de la base sous-marine.
«Faire avec et le moins possible contre».
Gilles Clément
Le Manifeste du Tiers-Paysage paraît en 2003 aux Editions Sujet/Objet.
TROGNE
TROPISME
X VERMINE
VERTU
VIVANT
ADAPTATION
agriculture syntropique
ou agroforesterie successionnelle
AGROECOLOGIE
AGRONOMIE
AMOUR
Pour une agriculture de l’Amour, Hervé Covès.
ANASTOMOSE
anthropisme
arbre
AZOTE
BASSIN VERSANT
biodiversité
BIOLOGIE
biomasse
biotope primaire et secondaire
biocènose
CARBONE
clairière
CLIMATOLOGIE
Climax
ECOLOGIE
ECOTONE
Un écotone est une zone de transition écologique entre deux écosystèmes. Par exemple, le passage de la savane à la forêt, ou le passage d’une plaine alluviale à une zone non inondable. En écologie du paysage, il correspond à une lisière. Comme dans le cas des biomes, la végétation joue un rôle important dans la caractérisation d’un écotone, du fait de la marque physionomique prépondérante qu’elle imprime au paysage.
Cette zone est généralement très riche en biodiversité car elle abrite des espèces propres à ce milieu de transition mais aussi des espèces appartenant à chacun des écosystèmes le bordant1.
écosystème
égo
ETAGEMENT
FERTILITE
fixateur d’azote
forêt
forêt-comestible
forêt de régénération
haie fruitière multi-étagée
harmonie
Homéostasie
HYPHE
impermanence
incidence
X INDIGENE
Indigène qualifie une espèce ou un ensemble d’espèces présentes naturellement en un lieu, sans y avoir été amenées par l’homme mais connues aussi naturellement en d’autres lieux.
interactions
interdépendance
lisière
LITIERE
MATIERE ORGANIQUE
micro-climat
micro-organisme
milieux
MYCORHIZE
X NATURE
permaculture
philosophie
PHOSPHORE
pollinisation
pré-verger
RECYCLAGE
resilience
ressource
SAISONNALITE
SENSIBILITE
SPIRITUALITE
SOL - PEDOLOGIE
SUCCESSION ECOLOGIQUE
SYMBIOSE
SYNTROPHIE
SYNUSIE
TIERS - PAYSAGE
Le Tiers-Paysage –fragment indécidé du Jardin Planétaire- désigne la somme des espaces où l’homme abandonne l’évolution du paysage à la seule nature. Il concerne les délaissés urbains ou ruraux, les espaces de transition, les friches, marais, landes, tourbières, mais aussi les bords de route, rives, talus de voies ferrées, etc … A l’ensemble des délaissés viennent s’ajouter les territoires en réserve. Réserves de fait : lieux inaccessibles , sommets de montagne, lieux incultes, déserts ; réserves institutionnelles : parcs nationaux, parcs régionaux, « réserves naturelles ».
Comparé à l’ensemble des territoires soumis à la maîtrise et à l’exploitation de l’homme, le Tiers-Paysage constitue l’espace privilégié d’accueil de la diversité biologique. Les villes, les exploitations agricoles et forestières, les sites voués à l’industrie, au tourisme, à l’activité humaine, l’espace de maîtrise et de décision sélectionne la diversité et parfois l’exclut totalement. Le nombre d’espèces recensées dans un champ, une culture ou une forêt gérée est faible en comparaison du nombre recensé dans un délaissé qui leur est attenant.
Considéré sous cet angle le Tiers-paysage apparaît comme le réservoir génétique de la planète, l’espace du futur …
La prise en considération du Tiers-Paysage en tant que nécessité biologique conditionnant l’avenir des êtres vivants modifie la lecture du territoire et valorise des lieux habituellement considérés comme négligeables. Il revient au politique d’organiser la partition des sols de façon à ménager dans son aire d’influence de espaces d’indécision, ce qui revient à ménager le futur.
Le Tiers-Paysage intéresse le professionnel de l’aménagement, le concepteur, en ce qu’il l’amène à inclure au projet une part d’espace non aménagé ou encore à désigner comme espace d’utilité publique les délaissés que génère, quoi qu’on fasse, tout aménagement.
Le terme de Tiers-Paysage ne se réfère pas au Tiers-Monde mais au Tiers-Etat. Il renvoie au mot de l’Abbé Siéyès : « Qu’est-ce que le Tiers-Etat ? – Tout – Quel rôle a-t’il joué jusqu’à présent ? – Aucun – Qu’aspire-t-il à devenir ? – Quelque chose. »
Le seul projet d’ampleur proposant une scénographie du Tiers-Paysage est le Parc Matisse à Lille où l’île Derborence, objet central exhaussé à 7 mètres du plan commun, reçoit sur 3 500 m2 une « forêt idéale » installée par la seule nature. Inaccessible mais observée, elle sert de matrice et d’indicateur pour une gestion dans la plus grande économie possible des huit hectares de parc public.
Le Jardin du Tiers-Paysage à Saint-Nazaire sur le toit de la base sous-marine.
«Faire avec et le moins possible contre».
Gilles Clément
Le Manifeste du Tiers-Paysage paraît en 2003 aux Editions Sujet/Objet.
TROGNE
TROPISME
X VERMINE
VERTU
VIVANT